Phase 5
La mise en place d’un projet d’envergure qui viendra position la zone désignée comme un projet d’appel touristique pour l’ensemble de la région de L’Abitibi-Témiscamingue
Parc aquatique thématique
Le parc aquatique Notre Terre dont la thématique serait la présentation de l’univers des premières nations et la relation avec l’industrie minière. On peut facilement imaginer un aménagement où le premier niveau présenterait un monde souterrain et minier au-dessus duquel on pourrait voir les autochtones et leurs relations avec leur mère la terre.
Notre Terre, fait référence non seulement à l’appartenance du territoire aux communautés autochtones, mais également à l’importance de protéger ce qui constitue notre milieu de vie.
Kraken Management et ses partenaires européens sont dore-et-déjà intéressés à travailler à monter le dossier.
Le parc pourrait non seulement accueillir jusqu’à 750 personnes par jour pour profiter du parc aquatique, mais pourrait également devenir un centre majeur de diffusion culturelle. En effet, le parc aquatique pourrait se transformer en salle de spectacle pour des événements et artistes majeurs pouvant accueillir jusqu’à 8000 personnes en formule festival (90% debout, 10% en VIP). La région se retrouverait avec un lieu de diffusion pour les artistes de calibre international, ce qui est présentement inexistant en région.
La toile du chapiteau permanent se transformerait également en toile de projection avec un partenaire comme Moment Factory, et créerait un environnement unique au Québec dans l’univers du spectacle.
Entreprise de construction conventionnelle
Les constructions en bois offrent un cachet intéressant pour un développement touristique et un développement commercial entourant un projet touristique, mais ne conviennent pas à toutes les clientèles et à tous les types de commerce. Il deviendra donc intéressant qu’un entrepreneur en construction conventionnelle s’installe dans la zone désignée, non seulement pour des besoins de la zone et de la communauté du Lac Simon, mais également pour répondre à d’éventuels développements immobiliers qui pourraient être stimulés à proximité par l’effervescence du développement touristique (exemple aux abords du Lac Endormi).
Concessionnaire de voitures usagées
Pour des raisons d’économie de coûts, mais plus récemment pour des raisons écologiques, les véhicules de seconde main ont la cote. Fini l’époque où tout le monde changeait de véhicule à tous les 3 ou 4 ans. Les consommateurs gardent leurs véhicules plus longtemps et achètent souvent déjà usagés.
Des entreprises qui n’étaient que des intermédiaires via le web pour la vente de véhicules usagés sont aujourd’hui des géants de l’industrie avec des parcs automobiles très vastes avec des inventaires de 16 000 à 35 000 véhicules (autoaubaine, autohebdo…). Des enseignes de véhicules usagés sont de plus en plus connues (HGregoire, Albi,…) et ne représentent plus des commerces de secondes zones comme dans les dernières décennies.
Entreprises profitant de l’achalandage ponctuel
Avec la clientèle du parc aquatique et les clients ponctuels des événements majeurs qui pourraient rassembler jusqu’à 8000 personnes en même temps au même endroit, l’intérêt pourrait se développer pour certains promoteurs commerciaux de s’établir à proximité. Même si seulement 5 à 10 événements sont organisés annuellement, cela représente un achalandage potentiel de 40 000 à 80 000 personnes, de quoi faire vivre un commerce pour l’année en ouvrant seulement 5 à 15 journées par année (des exemples de ce phénomène sont observables à Saint-Tite pendant le Festival Western).
